Il existe différentes explications au déclin de cet amphibien. Plusieurs prédateur chassent ces salamandres, par exemple les espèces invasives comme le poisson Tilapia et d'autres espèces qui s'attaquent aussi aux œufs et larves mais les principales causes de son déclin sont l’altération et la perte de son habitat sont dues à l’urbanisation exponentielle autour de la ville de Mexico. Cette urbanisation est responsable du drainage des différents points d’eaux, abris de l’axolotl ce qui fragmente son aire de distribution. En d'autre mot, l'eau deviens pollué et inhabitable pour l'axolotl. La disparition de cette salamandre est aussi due au commerce excessif d’espèces exotiques, et à la pêche local car l’Axolotl est vendu dans les marchés et dans les rues pour être mangé. Ils servent également à fabriqué des crèmes de toutes sortes tel que des crèmes rajeunissantes "magiques". C’était d’ailleurs un produit de base du régime Aztèque car il les croyaient magique. Il existe encore des sirop pour la toux a base d'Achoque. Les deux sous-espèces les plus proches de l'Ambystoma mexicanum est l'Ambystoma Andersoni et l'Ambystoma Dumerilii (Achoque) et toutes les trois sont en voie critique d'extinction en milieu sauvage.
Aujourd’hui, 90 % des Axolotls sur la terre sont née en captivité. Le Journal Officiel nous informe que l’axolotl albinos est cité par l’Arrêté du 11 août 2006 fixant la liste des espèces, races et variétés d’animaux domestiques. L’Axolotl albinos est donc considéré depuis comme un espèce domestique.
Ambystoma mexicanum reste protégé, aujourd’hui par la convention sur le commerce international des espèces de la faune et de la flore sauvage menacées d’extinction (CITES) qui le considère comme espèce vulnérable, le classant en Anexe II depuis le 1er Juillet 1975.
De son côté, l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) classe l’espèce comme « en danger critique d’extinction » depuis 2006 dans sa liste rouge des espèces menacées, statut précédent celui de «éteint en milieu naturel ».